• Voila les premieres lignes de mon livre....

    dite moi quand meme ce que vous en pensé. merci Ma passion..... c'est toi....mais.......Perdu, Un jour, une fois, une periode, j'ai eu une passion pour une femme. Une comme on ne voit pas tout les jours, pas partout, d'une exception incroyable. D'un charme à en faire tombé la nuit, d'une beauté a en arreter le temps. Je l'ai vu par la fenetre la premiere fois.Apres quelques regards echangé, et quelques mots de passage, le temps s'arretait a chaque fois que je l'avais dans ma vision. Je l'observait discretement avec une forte envie de la sentir contre moi, son corps nu contre le mien, le silence m'entourrait, tout disparraissait d'un coup, le monde ne tournait plus, le vent ne soufflait plus, les oiseaux ne volait plus, les nuages n'etait plus en nage dans le ciel, tout les coeurs s'arretais de battre. Mon attirance est vite devenu tres fort, fou, fougueux, à tel point que je n'en dormais plus, je pensait constament a elle, son corps, se demarche, ces gestes, ces yeux. j'avais besoin de sentir son parfum, sa presence, meme la voir de loin me donnait une satisfaction grandiose que... que je n'avait jamais vecu avant.Je me disait rever tel, c'etait jolie, mes pensées, mes reves, mes espoirs de la voir, ou juste qu'elle me dise bonjour. Qu'elle me transperce de son regard pour toucher le plus petit et plus fragile point qui sommeil en moi. On croit a ces moments là que le monde des vivants ne pourrait plus exister si il n'y avait pas de tel creatures, belle, jolie, fascinante comme une biche qui s'exhibe dans la plaine avec sa demarche, pas à pas toujours identique. En regardant toujours devant elle, rien ne la surprend, rien ne l'attire. Un jour, je me suis dit a moi meme en rigolant, vu que j'aime les pitreries, ""si j'avais une femme comme toi, j'aimerai te voir une fois et apres si je suis aveugle c'est pas grave, je sais que tu es belle"" Meme sans mes yeux, a sentir sa peau douce passer sous mes doigt et ces levres sur les miennes, je verrais la beauté sortir d'elle. Elle avait 15 ans de plus que moi, j'y croyait pas quand elle me la annoncé, elle parraissait si jeune, si joyeuse, et tellement bien en forme. Son secret c'etait son cours d'escalier comme je l'appelais, elle me fascinait a chacun de ces regards, je croyais fondre sous la mire des ces yeux qui me transpercait froidement la vue, des yeux comme ca!! jamais vu, pourtant j'en ai croisé des yeux, des regards, froid, chaud, torride et glacial mais le sien etait si different, que je me suis laissé emporter. Son monde etait si different du mien, je me sentais plus gené qu'autre chose, certainement par manque d'habitude. Mais là c'est normal, c'est comme ca. On se laisse emporter si bien que j'en oubliait presque de respirer. Nos peu de moments passé ensemble etaient remplis de joies, de pitreries et tout ce qui est lié a l'amusement. Je lui racontais mes anecdotes avec passions, parce que je trouvais toujours un petit truc pour la faire rire, et j'aimais la voir comme ca. En fait je n'etait qu'un objet,un pitre,.... un objet qui accompagne a table,aux sorties, pour ces desirs les plus fous et pour bien d'autres choses dont elle etait comblé par ma presence. Elle voyait le plaisir en moi, je n'etait que fait pour ca, pour donner du plaisir, tant qu'elle voulait sans relache, sans fatigue, sans renoncer... tout etait bien, beau, beau mais il y avait une barriere. La barriere des sentiments. On ne devait pas la franchir, au debut on c'est dit qu'on ce verrait de temps a autres pour passer des bons moments agreable, boire un petit verre, un verre de champagne ou de cremant, car le champagne, c'etait ca, qu'elle aimais, elle en buvait tout le temps, ou des que possible. j'en croyait pas mes yeux, mais c'est quoi ce cinema de boire a tout bout de champs des bulles. Je me disait mais comment peut on boire du champagne ou du cremant si souvent, rosé s'il vous plait de preference, tres frequement, faute d'habitude de ma part bien sur. J'y ai pris habitude aussi, c'etait si bien et si bon, on prennait nos verres en main et on s'embrassait des longs moments sans s'arreter, si longuement que parfois on en oubliaient nos flute qui s'etait rechauffé a attendre notre gorgé pour etre degusté. le gout petillant sur sa langue me rendait plus que fougueux, plus que que fou, plus que dingue et je lui faisait l'amour comme jamais je l'ai fait. Elle je n'aurait jamais pu lui faire autre chose, que lui donner du plaisir, autant qu'elle en voulait, j'adorai voir la satisfaction couler de ces regards et de son visage, je voulais voir son corps trembler sous mes baisers chaud et mes promenades de langue sur elle. J'avais encore envie d'elle, meme en plein acte j'avais envie d'elle. Je voulais plus, plus de plaisir, pour lui en donner encore et encore a lui en faire tourner la tete. Le privilege de lui faire l'amour etait si fort, si doux et tellement long. Que je me sentait etre un homme, un vrai, j'arrivais a lui donner du plaisir et ca c'etait vraiment un privilege. Faire plaisir, faire du bien a une femme de cette ampleur, l'ampleur a mes yeux, sa grandeur et sa personnalité. Elle etait grande a mes yeux, du vecu, du deja vu, de l'experience, faisait parti de sa vie quotidienne. Elle savait cuisiner, j'ai plusieurs fois eu l'occasion de deguster ces petits plats mijoté par ces mains si douce, que j'en avait plus envie de la manger elle, que ces plats. Vraiment tres bien, rien a redire. Je penses à toi, j'ai cette douleurs qui appuie le coeur vers le bas comme si on allait me l'arracher, comme si un poids d'une tonne etait suspendu, je me sent repugnant, moche, pauvre, simple, jouet, objet, je cherche ce qui a pu t'eloigner de moi comme ca en si pêu de temps. Forcement quelqu'un qui a du te marquer plus que moi, ou pas forcement, enfin je sais pas, et meme je veux pas le savoir. Suis-je amoureux?? non je ne le suis pas. Ou peut etre que oui, es-ce ca l'amour noir?? je me retiens peut etre a le faire surgir hors de moi comme ma fougue. L'amour noir c'est celui ou on ne voit plus rien d'autre, ou tout est indifferent, ou on veux rien d'autre qu'elle, on en brulerai Rome pour un seul de ces regards, on penses pouvoir deplacer des maontagnes pour un de ces souffles chaud . Mais non, là, meme decrocher la lune ne servirai a plus rien. La barriere je l'ai en moi, je ne pourrai pas, avoir de sentiment pour elle.Aujourd'hui ca fait trois jours que je ne l'ai pas vu, et je me dit qu'elle na jamais existé pour me soulager l'esprit. Mon esprit,....comment le soulager, elle est là planté en moi, ces souvenirs coule dans mes veines, la sensation de ces carresses me passe sur le corps, ces mains sur mon visage... je ferme les yeux a chaque fois que ca me revient pour le sentir encore et encore plus fort. Mais quand je les ouvres...ya rien, personne.Et là, commence à gouter les larmes chaudes le long de mes joues envahi par ma barbe, jusqu'a tomber...pas par terre, mais sur mon destin si mauvais que j'espere noyer avec ces quelques larmes. Et la, je la maudit, je lui en veux, j'aimerai ne plus rien entendre, ne plus penser, ne plus la suivre, je la maudit tellement que moi meme j'en arrive a me maudire.....mon destin. C'est fini a la fin, je le voit, je sent mon agoni au fond de moi, tes paroles me font mal. tu aurais du me le dire au debut, mais ton choix et tel. Je t'enfermerai dans mon coeur et je partirai sans me retourner, je t'enfermerai dans mon ame et je t'oublierai alors, je t'effacerai de ma vie. De toute facon ce n'etait que de la passion, ma passion pour toi. Meme si je te desire encore comme un fou, je souffre a te faire passer de mon esprit, mais je t'effacerai, je t'oublierai, je redeviendrai le charmeur que j'etai. Dur, tenebreux, sans coeur, sans retour et sans questions. Mais au fond de moi quelque chose a envie de la voir, voir ma passion, de l'entendre, de la sentir, de la toucher, mais elle n'est pas là et ca c'est le pire des sentiments qu'un homme peux vivre, le vide, le vide de tout. Je me promene dans les rues de ma ville, et chaque recoins me fait penser à elle, tout ce que j'entend ou ce que voit a un rapport avec ca presence dans mon esprit. je pensais que ca aurait duré un ptit moment notre jeu du bel amant et de la maitresse, mais....non, j'ai trop revé. Ceci dit....elle est en moi, elle me manque tant, celle qui me donnait tant de joies et de plaisirs. Est elle bien? Pense-elle a moi? je ne sais pas , je ne sais rien. c'est dur, j'aimerai tellement me sortir tout ca de la tete. Et non je la garde en moi, peut etre un jour elle aura encore envie de mes carresses, de mes pitreries, de moi tout simplement. Je remonterai à nouveau les escaliers de son appartement en longeant le mur et en m'appuiyanr sur les marches une à une pour limiter le bruit et deranger personne. Et quand j'arriverai au permier palier, elle sera là a me regarder monter, avec son sourire charmeur et ensorcelant. Elle dira le bonjour habituel apres qu'elle m'aura embrassé plusieurs fois. Ensuite elle me demandera comment je vais. Et là, a peine entré, elle me servira un verre d'une boisson dont elle m'en parlera de longue minutes, de ces qualitées, ces origines etc...on appreciera ensemble ce verre tout en se regardant et se souriant. Apres elle me parlera de sa journée, de ce qu'elle a fait, de ce qu'elle a pas eu le temps de faire. moi je ferait pareil, je lui parlerai de mes projet du lendemain etc... Aucun de mes mots ne pourrai d'écrire ce que jai ressenti pour toi , aucun de mes mots ne pourrai d'écrire ce que je ressent pour toi, Personne ne peux ressentir ce que j'ai au fond de moi, Mais sache que ce que j'avais là au fond de moi c'etait toi. Tu me faisait voler, j'ai cru en toi comme une priere, je me suis attaché a toi comme un enfant, comment ai je pu croire a cette fausse verité, je me suis attaché a ta passion. Et maintenant je suis seul avec moi meme, redonne moi, mes yeux sec qui avait le sourire, redonne moi, mes jours qui n'etait pas noir avant, redonne moi, mon grand amour et ma grande passion pour la vie. Mais non, ne te demande pas si c'est a toi que je dit ca. C'est a la vie, a mon destin que je le crie, toi tu n'y est pour rien. Comment t'en vouloir apres tant de beaux moments, tant de joies, de folies et de fougue. Ce n'est pas toi, c'est lui.....lui seul qui saura me repondre. Mais tout humain je ne l'entend pas et tu ne l'entendra pas non plus, d'ailleurs personne ne pourra me dire un jour ce qu'il a dit. Cela restera a tout jamais un secret. Cela fait quelques jours maintenant que je t'ai envoyé ce mail que tu devais lire et repondre. Toujours rien, pas de retour. Tu as peut etre pas le temps de le lire, ou tu ne veux pas le lire, ou encore ca doit etre tellement peu important a tes yeux que tu ne prend meme pas dix minutes pour jetter un regard sur mes maux et mes mots que j'ai versé sur le clavier a ton attention. pourquoi je me fait autant de mal, je ne sais pas!! si je le savais croit moi que j'y penserai meme pas. Moi qui suit le briseur de coeurs, de reves....moi qui suit le charmeur sans pitié, sans merci. je partais toujours sans me retourner, sans me poser de question. Dur comme fer etait mon coeur. L'emotion, j'ai pas connu, j'ai jamais vecu. La peur de perdre, me perdre moi oui mais la bien aimé.. non ... jamais. là, je l'ai vecu, je lai ressenti. Mais peut etre pas au bon moment avec la bonne personne en fait.. j'en sais rien. mon âme saigne quand je rentre dans les pensées trop profonde, je te maudit, toi, d'etre venu trop tot sur terre et j'en fait autant pour ma part pour etre venu trop tard. A qui la faute? Aux destins qui se sont croisé mais pas dans la bonne époque. En tout cas, ""si il existe une vie dans un autre monde, je la brulerai cette planete pour que tu ne soit qu'a moi et rien qu'a moi"" Je pensais vivre une relation charnel, sans retour du genre, une de plus dans mon palmares. Mais non...ce n'est pas ca du tout, elle ne sera jamais un palmares, jamais. elle c'est une passion de courte durée qui m'en a fait voir et appris autant que si j'avais passé 1 an a lire. La passion de la machine oui je connais mais la passion pour la femme, pour elle, je connaissait pas. c'est un sentiment qui emporte dans un autre monde ou rien n'est pareil ou les voitures n'existe plus, la voix disparait, le dialogue se fait avec les yeux. Les yeux en disent beaucoup, les siens sont, si profond que j'ai le sentiment qu'elle arrive a voir mon enfance quand elle me fixe. tel la profondeur de ces regards me noie.Un biblot, tel un objet sans vie, je l'observerai des heures durant sans bouger, limite sans respirer. On n'y penses plus a l'air qui nous entourre, tant le coeur bat tout seul d'emotion et de passions.Son parfum.....je pourrai le respirer, respirer, respirer et encore le respirer. aucun mot n'est assez fort pour le raconter et vous le faire vivre. j'accepte le fait qu'on devait se separer un jour, mais pas aussi vite.Nous n'etions que des jouets dans les bras du destin. A notre premier baiser on avait deja frappé a la porte de la separation, le tout est de le vivre tel quel. En tout cas moi j'en souffre tout le temps a chaque instant, chaque respiration, chaque regard que j'ai, je souffre. toi je sais pas..........je t'embete peut etre avec mes histoires, c'est le dernier que je t'ecrit promis. je garderai le reste au fond de moi. Qui sait, combien de fois j'ai regardé ma boite de mail esperant un mot en retour de toi. Mais rien, toujours rien, je ferme les yeux je leve la tete en arriere comme pour crier ma douleur attroce de ne rien voir. Si tu savais comme c'est douloureux de rien trouver. Ne rit pas , de dit pas, ne fait rien, il est trop tard desormais pour dire quoi que ce soit, ca n'a plus aucune importance. Il y a des jours, ou des moments ou tout va bien. Je passe l'eponge sur toi, ou je ne pense pas du tout a nos fous rires et nos discutions pas serieuse. Dans le fond c'est ca que je devrais faire m'enfoutre completement, mais jy arrive pas. Si un jour j'en trouve la force je t'ignorerai comme jamais je lai fait parce que serieusement on a jamais eu de paroles forte du genre "je t'aime" etc....mais ya pas eu besoin de ca, pour que ca soit si fort. Je me laisse peut etre trop emporter ou peut etre je suis un petit minable qui s'accroche a un truc comme un gamin. enfin j'en sais rien et comme dit auparavant si je savais je me prendrai pas la tete autant. c'etait une soirée banale comme toutes les autres, dans une piece banale aussi. Ou, on etait entrain de boire un verre tranquillement en discutant de tout et de rien. Nos petit jeu on commencé, le baiser sur les levres, les petites caresses, les ptits mots doux etc...j'etai frais, jeune, confiant, charmeur et charmé. Elle etait charmante, chaude, fondante et un peu les grammes. L'envie est vite tombé dans le jeu de la seduction du seduit, je n'avais pas besoin de beaucoup de temps pur etre exité, le jeu et le risque dans l'amour ca me rend fou, le risque de savoir que je m'attacherai a une creature tel etait de toute facon claire pour moi. Comment ne pas s'attacher, on se laisserai empoisonner avec sourire et grace si elle nous donnais l'elixyr de la mort. La etait le plaisir, la etait la joie, la fougue de mes envies, de ma passion que j'avais nourrit en moi et qui avait grandit a force de la voir de loin et de sentir son parfum de passage. Je me disait que j'allais vivre une torture des que cela finirai, ma conscience me disait non...mais mon esprit de charmeur charmé me poussait a la seduire de plus en plus. La peur de la decevoir me hantais sans cesse, je m'apliquai dans tout mes gestes mais je croit que c'etait pas trop ca. C'etait pas assez, je devais m'ameliorer. Je me sentais toujours minable face a elle, j'ai toujours eu l'impression que je suis venu d'un autre monde ou rien n'est pareil. Si j'avais su un jour que j'allais autant souffrir de notre separation, enfin.....c'etait clair au depart,mais bon c'est moi qui va pas bien dans la tete...je vois bien qu'elle est insensible a tout, normal, moi je me tortille de questions sans reponses, j'en dort pas de la nuit j'ai peur de la voir, je sais pas quoi faire, la terre me parait si petite. Tandis qu'elle doit surement etre au resto a en rire de joie, face a l'homme qu'elle croit etre celui de sa vie. je me suis toujours dit, un homme qui a 50 ans qui pete la tune qui est charmant et qui na pas de femme, c'est louche quand meme. ya un soucis quelque part. enfin c'est ce que je pense je ne juge personne. Bref si seulement tu m'avais dit que tu me detestai, j'aurai preferé. Mal être, J'ai mal à mon entité, à mon intérieur, en plus des maux qui agressent mon corps et l'abîment inexorablement, j'ai mal à mon âme autant qu'à mon corps et mon esprit... j'ai l'impression d'être l'expression de toutes les douleurs. Un terrain de jeu où elles viennent s'éclater!... D'où me vient ce mal être si fort aujourd'hui? D'où qu'il vienne, qu'il y retourne!!! Je n'ai pas les armes pour l'affronter, je n'ai que mes larmes qui coulent à l'intérieur de moi seulement, et celles-là font mal. Toujours en tête "pleurer est une marque de faiblesse", alors voilà, celles-là ne se voient pas, elles coulent doucement de derrière mes yeux à mon coeur, et mon coeur imbibé se fait de plus en plus lourd...gros, mon coeur gros... me vient alors cette boule dans la gorge, que je traîne comme mon âme en peine. Peine à voir plus loin que mes larmes et mes souffrances ravalées, accumulées. Peine à voir, je me fais. Peine de tout pour un rien. Peine à dire, à écrire, à décrire, peine à expliquer, à demander, peine à attendre, à me défendre, à espérer, à m'imposer, à m'opposer, peine à dormir, à m'ouvrir, à m'adoucir... Bonheur... Je n'aime pas ce mot-là. Il ne sonne pas suffisamment bien pour être à la hauteur de ce qu'il prétend. Bonheur. Prononcez-le en y pensant. Je ne me suis jamais laissé convaincre. Bonheur... Encore une fois. Je trouve ça mou, sans conviction, lâche comme un élastique pas assez tendu pour servir. Ca signifie que c'est la "bonne heure" à la limite... mais ça n'assure rien de vraiment gai et rien de plein. Je me plains. Je me plains moi-même, je me remplis de joie. Mais le bonheur ne fait pas le plein à lui tout seul, il ne fait pas le poids. Auriez-vous fait le plein de bonheur si vous étiez en panne sur l'autodoute ? On a beau tourner ça dans tous les sens, vouloir être concilient, souple avec les mots, avec les sens, on a beau y mettre du sien, le bonheur ne prend pas le risque d'être sûr. Il s'arrange pour qu'on parle de lui au futur, pour qu'on le projette. Les optimistes, dans un avenir proche, et les pessimistes après leur mort. Mais il n'est là "ici et maintenant" pour pas grand monde. Si. Pour les rêveurs, pour les inconscients, les translucides, pour ceux capables de marcher sur un trottoir imaginaire. Le bonheur existe à condition qu'on ne le cherche pas, qu'on n'en ai pas d'idée précise. Il existe à condition qu'on y adhère sans avoir besoin de preuve. Ce matin, comme par hasard, j'y crois. Parce qu'un jour different ce lève, un jour ou j'essai de plus y penser, de plus y regarder, de tout eviter. Quand le temps c'est arreté, Le temps s'arretait chaque fois, chaque fois qu'elle m'embrassait, elle fait ca si bien que oui...le temps s'arrete. Parce qu'il nous a fallu espérer tant de fois toi et moi , parce qu'un jour tu as cru que je pouvais te dire "oui", que je pouvais moi aussi partager tes désirs, tu es venue à ma rencontre, timidement, le pas hésitant maintes fois répétés mais résignés. Il t'a fallu vaincre tes peurs les plus profondes, toi qui ne croyais pas qu'un jour je lèverai mon regard sur toi. Je me souviens de tes mains tremblantes, de ton regard qui n'osait s'appuyer sur le mien, de ta gorge nouée... Parce que l'un comme l'autre, nous avions les mêmes étoiles dans les yeux, le même trac au ventre, le même manque de confiance, chaque fois que nous nous croisions au détour de la vie. Alors je me souviens aujourd'hui de nos joies, de nos craintes et de nos peines, et je me souviendrais toujours de tout ce qui est toi, de tout ce qui fus nous, à ces instants où nous nous rêvions en secret, dans le silence. Je me souviendrais à jamais de ce jour , où cet amour nous dépassé et nous terrifié à la fois. Alors parce que a pris ce jour là sous son aile, je garderai en moi tout ce que je ressens encore aujourd'hui au plus profond de moi , cette petite flamme qui, la nuit, le jour, et à jamais sur notre . J'espère que toi aussi tu te souviendras toujours . A la plus grande des passions que j'ai eu jusqu'a ce jour .

  • Commentaires

    1
    Dimanche 16 Mars 2008 à 22:29
    WHAOO!!!!
    à quand la suite ...
    2
    Dimanche 16 Mars 2008 à 23:19
    ben
    je savais pas moi que tu voulais écrire un livre, alors ce que j'en pense : pas très lisible sur le blog parce que c'est écrit petit et tout collé :( mais le contenu c'est trop beau je suis acheteuse du premier livre quand il sera publié ok ? et je voudrais avoir ma dédicace spéciale et perso rien qu'à moi, je pourrais ? gros bisous cemstyle et bonne nuit :)
    3
    Lundi 17 Mars 2008 à 01:17
    A miss Bonheur...
    merci de ton petit mot qui fait hyper plaisir. la suite c'est bientot sauf que la ca parlera de moi, de ma vie, de ou j'ai grandi etc...avant de retourner a elle pour la fin. grox bisous
    4
    Lundi 17 Mars 2008 à 20:23
    Merci pour ton petit mot
    gentil - c'est pas bizard du tout certaines fois nous sentons plus le besoin de recevoir d'un ou d'une inconnue. Bonne continuation et comme le dit la miss il va falloir grossir les caractères car tu écris bien. Gros Bisous d'une Inconnue
    5
    Lundi 17 Mars 2008 à 21:16
    tu
    l'as reçu mon message dans ton blog ? allo ???
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    6
    Mardi 18 Mars 2008 à 14:23
    alors
    tu le vois ce mail ? il est sur la messagerie de ton blog, ouvre-le mais chut stp merci :) bisous
    7
    Mardi 18 Mars 2008 à 18:34
    kikoo
    super continu beaucoup de talent bisous bonne soirée
    8
    Mardi 18 Mars 2008 à 19:05
    Un Petit coucou
    pour te souhaiter une bonne soirée. Bisous
    9
    Mercredi 19 Mars 2008 à 06:53
    Avant de partit bosser
    je passes te faire un bisous, j'espère que ta ballade t'a bien inspiré. Bonne journée
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