•    Je t'ai connu sur un ecran, dans le monde du virtuel et sans savoir qui tu etais. On discutais de temps a autre en s'echangeant quelques mots banal, tu ne disait plus rien et tu repondais a nouveau enfin je ne savais pas trop pourquoi tu etais comme ca. Enfin aujourd'hui je le sait, j'aime nos discutions, nos fous rires, tes yeux, tes cheveux, ta voix ton corps, enfin tu es vraiment bien. Si on avait pu refaire le monde, je penses que tu aurais certainnement choisi d'etre a mes cotés. J'aurai fait pareil peut etre dans le monde anterieur, qui sait!!!

    Je pensais que ma religion et mes origines aurait causé une distance entre nous mais non c'est pas la cause de notre distance, mais bel et bien les routes, les routes qui sont sans fin et qui ne finissent jamais. Quand je pense a toi, je me dit, mais si j'avais plus pres ca aurais donné quoi?? je sais pas mais en tout cas je suis sure d'une chose, et ca, on ne se serait jamais ennuyé n'es ce pas?? Avec tous nos reves qu'on realise en parlant sur nos ecran.

    tu es et tu resteras differente des autres femmes a mes yeux, tu merites la joie, le bonheur, le sourire, et certainnement pas de copine de la cotorep :)) tu merites moi, tel que je suis, grand fin, svelte, tenebreux, passionné, cela viendra forcement un jour ou nous seront bien l'un dans l'autre, nous penseront a plus rien, rien qu'a nous, rien qu'au plaisirs que nous procurera notre rencontre.

     

    je t'embrasse tendrement

    Moi comme tu m'appel "ton cheri"


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  • Je suis triste, pas bien, mes angoisses reviennent, je pensias les avoirs combattu mais non  il sont encore là.

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  • M

    oi

     

    je suis née en Turquie, a Karayahsiller KÖyû, au sud ouest, le village se situe a 60 kilometres de Pamukkale, les magnifiques bassins de calcaire blanc dont tout les touristes de tout pays viennent admirer. Ce petit bourg et rattaché a Denizli, tres connu pour son embleme qui est le Coq de Denizli. Des combats était organisé dans le temps entre les coqs mais c'est interdit aujourd'hui. Denizli est tres connu pour son textile, bon nombres de textile de base partent de la bas. Le coton, le tabac, une grande variétés de fruits. Le parlé porte un accent comme la plupart des regions de Turquie. Ici les mots sont allongé et manque la moitié des lettres que le peuples ne prononce pas dans le dialogue. Karayahsiller kôyû est un petit village ou la plupart des maisons etait en terre. Un melange de glaise, de paille et de la chaux. Les paysans et les villageois fabriquaient les briques de glaise artisanalement avec une petite machine manuel, comme un gabarit rectangulaire ou il remplissaient la boue et il le sortait apres l'avoir pressé pour l'exposer par terre. Un tapis de paille tout fin etait jetté au sol avant de commencer a fabriquer les briques pour eviter qu"elles collent pendant le sechage qui durait quelques heures, avec une telle chaleur la brique ne resistait pas longtemps au soleil. La machine etait là, à la disposition de tout les villageois qui voulaient s'en servir. Il n'existe pas de probleme de "c'est a toi ou c'est a moi" dans le village, encore au jour d'aujourd'hui ce village ou je suis née na pas changé ces coutumes de vie. Sauf qu'a la place des maisons pauvre de glaise, des batiments au plan impressionnat on pris place. Donc, voila, je suis née un matin tres tot a l'aube. C'etait un jour de grand froid, dans le temps là la Turquie etait comme la Russie avec ces hivers tres rude. Ca descendai jusqu'a -35, mais aujourd'hui avec le rechauffement de la planete c'est moins froid. Alors les hivers sont tres froid a s'en geler la buée qui sort de la bouche et l'été c'est un vrai four, nous qui vivons dans un pays Europeen n'avons pas l'habitude de ce genre de climat. mais on y prend vite habitude. Les gens sont chaleureux, acceuillant et offrent tous leurs hospitalité. Moi c'est ca que j'aime, j'aime mon pays, mon peuples, j'aime tout de la Turquie.

    Mon jour de naissance est un peu flou, les voitures etait rare, les bus n'existait quasiment pas en Turquie, dans les petit village comme le mien. Dans les villes tel que Istanbul, les vehicules et les bus etaient bien sur deja tres nombreux. Mais dans un village reculé, avec ces maisons en glaise, sans eau courante, ni electricité. Rare etait le passage d'un vehicule ou autre moyen de transport. Mes papiers me disent que je suis née un matin de Saint-Valentin 1978, mais ma mere me dit que c'est pas la bonne date. Pourquoi? dans la religion musulmanne, il est dit que lorsque qu'un bébé né il doit rester a la maison quarante jour, un genre de quarantaine quoi!! Et bien sur, étant de confession musulmanne, papa, maman et moi forcement. Mes parents ont attendus les quarante jours avant d'aller a la mairie la plus proche qui se trouve à une dizaine de kilometres du village. Le quarantieme jour et le quatorze Fevrier 1978, alors je me dit que je suis née le quatre Janvier 1978. A vrai dire, je n'ai aucune certitude de ma date de naissance mais ce qui est sure est certain c'est que doit pas etre beaucoup plus vieux que mes trente ans affiché dans la realité. Enfin, soit je suis plus vieux de quanrante jours, soit plus jeune donc on est a pas a quelques jours pres non? En tout cas je suis comme je suis, et mes amis hommes ou femmes m'accepte tres bien comme ca, d'ailleurs personne le sait. J'en ai jamais parlé de ça, je pense que c'est un sujet inutile. En tout cas moi l'age de la personne m'est égale tant que l'entente ce fait bien, c'est le plus important. Donc, voila, je suis née, j'ai pris un peu d'age, mon decide de nous enmener a Izmir, Une tres grande ville construite a l'interieur d'une chaine de montagne, c'est d'ailleurs la ville de Turquie qui est la plus touristique, avec la mer, les restaurants luxe, les grands hotel, enfin la haute société turque se trouvent là. Izmir, sacré ville, mon père avait ouvert une petit boutique de fruits et legumes frais à quelques dizaines de metres de la maison ou nous etions arrivé. C'etait la maison a mon grand-pere qui en comptait un certains nombres ici.Toutes les rues sont en pente, seul les rues qui en coupe deux sont sur du plat mais c'est pas tres long. En tout cas c'est mon pays et croyez moi c'est magnifique. Quand je suis sur la plage au bas d'Izmir, je leve les yeux et là je vois, une chaine de montagne qui ont été apprivoisé par l'homme, le beton et les machines. Cette vue extraordinaire me transporte dans un monde différent du monde europeen et je me dit comment les hommes ont fait pour construire ces maisons, ces batiments, ces mosquées là sur la roche. Imaginez une chaine de montagne arqué vers l'interieur avec au bas une plage immense et un port ou les paquebot, les navires de guerre, et les yoacht mouillent. Les voitures roulent a vive allure, le long de la corniche d'Izmir. Tous klaxonnent, sinon la conduite est impossible, il faut faire du bruit ici, ya pas de feux rouge, pas de stop, rien n'est respecté il faut juste rouler. Tout droit avec la main sur le klaxon. Le blanc me fait mal aux yeux, les maisons sont toutes peintes en blanc, pour cause climatique bien sur. Enfin il y en à quand meme qui on des couleurs un peu plus gaie, genre rose, saumon etc...et qui sortent du lot.

    Un jour j'y emmenerai mon ami Laurent Alias Lolo, Pizza Lolo, pour lui faire voir les beautées de la turquie. C'est un projet qu'on discute depuis peu mais qui va forcement se realiser. Si on pouvais faire un raid 4x4 comme il en a envi ce serait mieux mais faut-il encore trouver des membres qui sont daccord pour suivre. Car, 3OOO kilometres nous separe de là bas, enfin je pense dabord l'y emmener, mon ami Lolo, et apres il decidera de lui meme si il veux faire un raid ou pas. Laurent a vraiment l'esprit d'un bledard comme on dit ici en France, il a le coeur sur la main, tres gentil et serviable enfin j'arrete là sinon, j'ai plus de place pour ecrire la suite de mon histoire. Et mon livre je serait forcé de le nommer "Lolo from the bled". un petit sourire ne fait pas de mal hein!!!!

    Je lui ferait voir la maison de terre et de glaise qui est encore entiere aujourd'hui, la maison dans laquel je suis née. Le village de mes origines, mes grands parents, mes oncles, mes tantes et bien sur ma grande soeur qui a vecu en france aussi. Apres avoir fait ces études ici, elle a decidé de s'installer la bas au pays avec son mari, qui etait soldat. Il etait au front a la frontiere Syrienne, dans une unité de chasse anti-terroriste. Tout les jours, il y avais des soldats tués ou bléssé qui revenait du champs de bataille. Les angoisses de ma soeurs etaient tellement fort que son corps a fini par ceder a la faiblesse d'un corps sous alimenté, impossible de manger un morceau, le stress, la peur, l'angoisse de perdre son mari la hantait tellement qu'elle en vivait plus. Les courriers arrivaient une fois tout les six mois pour cause de securité aux familles des soldats au front. Les terroristes abattait le postier pour lui volé ces courriers dans lesquels se trouvait desfois de l'argent que les familles envoyaient aux militaires enbusqués dans les montagnes et les forets de Turquie. La vie la bas etait attroce, entre les terroristes abattus, qui etaient entassé les un sur les autres, pour etre enterré sans priere ni imam (pretre) parce qu'un ennemi d'etat ne merite pas de priere a sa mort. ils sont mis en terre comme des chiens, ont vecu comme des animaux dans les grottes ou il y a rien, ni chauffage, ni cuisine, ni bouffe chaude, rien vraiment rien, comme des animaux sauvages. Sauf que, eux leurs problemes c'est qu'il ne savent pas ou il vont. C'est dommage tout ces morts pour rien a dit mon beau frere, la plupart sont des jeunes qui n'ont rien vu de la vie et qui n'ont meme pas la vingtaine. On leurs lave le cerveau avec de idioties, le peuples, la paix , le pays, les armes, la guerre etc....et bien sur les garcons jeunes aux sang bouillant attaquent le soldats sans remords ni crainte. Mais le soldat Turc et si bien entrainé qu'il n'hesite jamais a tué, nous on meurs tous pour notre pays, notre sang coule pour le drapeau, aucun Turc ne refusera la guerre si il devait y aller, nous sommes tres patriote, on grandit dans cet esprit là, on est deja des tueurs sans pitié pour l'ennemi des la naissance. Au fond de chaque homme sommeil un loup pres a bondir et faire gicler le sang, a tuer, a prendre des vies, a etre barbare, mais il doit dormir a jamais tant que le pays et le drapeau n'est pas menacé. Tel sont nos pensées, mon ami Lolo. Il y a un proverbe que disent souvent les anciens du pays, ils disent "que vive mille ans le serpent qui ne me mord pas" Je pense que ca veux dire beaucoup a qui le comprendra.

    Ma soeur avait passé quelques années de sa vie en france, mais elle a preferé repartir au pays pour s'y installer avec son mari et ces enfants, elle en a trois, ils sont tous magnifique les uns plus que les autres,Husamettin le garcon et l'ainée, Gulsum la seconde et Sumeye la toute derniere, les cuisines artisanales, que les femmes font cuire dehors sur un feu de bois ou avec des briques de bouses de vaches séchées que les femmes ramassent apres le passage du troupeau. Le pain frais frais cuit sur de la pierre avec de la viande haché en sauce a l'interieur, c'est bon de manger ca quand c'est a peine cuit. Je l'emmenerai a Pamukkale, mondialement connu, avec ces bassins naturel de calcaire, ou on pourra mettre les pieds dedant mais faut faire attention, ils ont pas tous la meme profondeur, y'en a qui on plus d'un metre de fond. En tout cas moi j'y etait trois fois et c'est chaque fois super amusant et fascinant a voir. A quelques dizaines de metres de Pamukkale se trouvent les anciens tombeaux, de quand date-t-il? je ne sais pas. Ces des tombeaux érigés vers le haut ou on peux entrer a l'interieur, la plupart sont grand et extraordinaire, et certains sont simple, une plaque posé au sol avec des ecritures anciennes qui sont impossible a dechiffrer. Un peu plus loin, un site immense, geant, gigantesque, un amphitheatre est là. Tout entier, il ne manque presque rien a sa forme originale, il est taillé dans la roche, la couleur du temps et un peu jaunatre comme dans les vieux films, c'est vraiment super. Une fois j'ai demandé a un touriste Japonnais de me prendre en foto devant l'Amphitheatre, apres avoir pris la foto, certainnement qu'il voulait me remercier de la confiance que je lui ai accordé, il s'est baissé en avant et relevé plusieurs fois. Enfin moi je faisait comme lui, et plus je faisait et plus il continuait, au bout d'un moment je me suis dit il va pas lacher l'affaire Bruce Lee, le mieux j'arrete et il arretera tout seul. Ceci dit, c'est une facon de remerciement chez eux mais faut pas le faire en dernier sinon ils continuent pendant 24 heures les gars!!, il faut que lui ai fait le dernier. Bizare comme coutume hein? Les petits vendeurs d'objets sont là aussi a attendre le touriste qui va venir acheter un souvenir, ce sont en grande partit des objets qui sont fait pour faire penser a Pamukkale ou Hierapolis dans le language Latin.

    Comme dans toutes les familles Turc vivant dans les villages un peu reculé, enfin c'est un bien grand mot de dire "reculé" La plupart mangent comme en Europe sur une table avec chacun son assiete. En tout cas nous nous mangeons par terre. Et c'est bien meilleure, le gout et le plaisir de manger est different d'etre assis sur une chaise. Un grand genre de drap est posé au sol sur un tapis pour pas avoir froid au pied, parce qu'on ne rentre jamais avec les chaussures à la maison. Question d'hygiene, c'est comme ca, ensuite un anneau geant est posé sur le drap geant, puis une soucoupe de grand diametre. La nourriture n'est pas distribué à chacun son assiete, c'est mis dans un saladier suffisament grand pouvant contenir une bonne quantité. Vous vous demandé si on mange avec les mains hein!!?? Ben non, pas les turcs, nous avons des cuilleres et des fourchettes comme vous les Europeens.


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  • j'ai du empreinter quelques lignes a des tiers personnes, enfin la base des phrases que j'ai modifié soigneusement?

     

     

    Le mal être, mon entité a mal, mon interieur brule en plus des douleurs qui agressent mon corps et l'abîment sans pitié, j'ai mal à mon âme autant qu'à mon corps et mon esprit... j'ai l'impression d'être l'expression de toutes les douleurs, le souffre douleurs des destins perdu. Un aire de jeu où elles viennent se defouler!... D'où me vient ce mal être si fort aujourd'hui? D'où qu'il est venu, qu'il y retourne!!! Je n'ai pas les armes en moi pour l'affronter, le defier, je n'ai que mes larmes qui coulent à l'intérieur de moi, le long de mon corps, seulement, et c'est celles-ci qui font le plus mal. Toujours en tête "pleurer est une marque de faiblesse, un homme ne pleure pas", mais, celles-là personne ne les voient, elles coulent doucement, chaudement, de derrière mes yeux à mon coeur, et mon coeur noyé se fait de plus en plus lourd...gros, mon coeur gros... me vient alors cette boule dans la gorge, qui vous fait chercher le souffle, l'air, le vent, que je traîne, comme mon âme en peine. Peine à voir plus loin que mes larmes et mes souffrances ravalées, accumulées. Peine à voir, je me fais. Peine de tout pour un rien. Peine à dire, à écrire, à décrire, peine à expliquer, à demander, peine à attendre, à me défendre, à espérer, à m'imposer, à m'opposer, peine à dormir, à m'ouvrir, à m'adoucir... Bonheur... Je n'aime pas ce mot-là. Il ne sonne pas suffisamment bien pour être à la hauteur de ce qu'il prétend. Bonheur. Prononcez-le en y pensant. Je ne me suis jamais laissé convaincre. Bonheur... Encore une fois. Je trouve ça mou, sans conviction, lâche comme un élastique pas assez tendu pour servir. Ca signifie que c'est la "bonne heure" à la limite... mais ça n'assure rien de vraiment gai et rien de plein. Je me plains. Je me plains moi-même, je me remplis de joie. Mais le bonheur ne fait pas le plein à lui tout seul, il ne fait pas le poids. Auriez-vous fait le plein de bonheur si vous étiez en panne sur l'autodoute ? On a beau tourner ça dans tous les sens, vouloir être concilient, souple avec les mots, avec les sens, on a beau y mettre du sien, le bonheur ne prend pas le risque d'être sûr. Il s'arrange pour qu'on parle de lui au futur, pour qu'on le projette. Les optimistes, dans un avenir proche, et les pessimistes après leur mort. Mais il n'est là "ici et maintenant" pour pas grand monde. Si. Pour les rêveurs, pour les inconscients, les translucides, pour ceux capables de marcher sur un trottoir imaginaire. Le bonheur existe à condition qu'on ne le cherche pas, qu'on n'en ai pas d'idée précise. Il existe à condition qu'on y adhère sans avoir besoin de preuve. Ce matin, comme par hasard, j'y crois. Parce qu'un jour different ce lève, un jour ou j'essai de plus y penser, de plus y regarder, de tout eviter.

    Encore un jour sans toi, encore un jour sans tes yeux, un jour sans ta voix, sans tes mains, ton parfum. Encore un jour de plus sans toi, ce n'est pas le premier, j'ai pris l'habitude moi, toi tu as deja tout oublié comme une chanson qu'on écoute sans attention. Mais moi je n'ai rien oublié et je n'oublierai rien comme si tout les jours, tout les matins, tout les soirs, toutes les nuits, je devais le revivre, te revivre. Toi, tes mains, ton âme, ta fierté, je les revit. Mais plus pour longtemps, je jetterai tout de mon interieur, pour t'en arracher comme un clou planté qui fait mal a chaque souffle, a chaque regard, chaque pensée. Moi c'est ca, tout ce que tu lis là c'est moi, c'est mes pensées, mes delires, mes conneries et toi, toi qui ma gravé quelque chose dans les veines que je n'arrive pas a decrocher. Si seulement je pouvais, je n'hesiterai pas, pas une seconde pour t'oublier. Et.....un jour........je t'oublirai........................jamais.

     

    Quand le temps c'est arreté,

    L

    e temps c'est arreté, le temps s'arretait chaque fois, chaque fois qu'elle m'embrassait, qu'elle me disait donne moi ta langue, je lui donnait sans un instant d'hesitation, doucement, lentement, fougeusement, profondement, elle fait ca si bien que oui...le temps s'arrete. Son corps est fin, sa peau est soyeuse, son teint est d'or, elle est grande, élancé, dynamique, gracieuse. Parce qu'il nous a fallu espérer tant de fois toi et moi , parce qu'un jour tu as cru que je pouvais te dire "oui", que je pouvais moi aussi partager tes désirs, tu es venue à ma rencontre, timidement, le pas hésitant maintes fois répétés mais résignés. Il t'a fallu vaincre, combattre tes peurs les plus profondes, toi qui ne croyais peut etre pas qu'un jour je lèverai mon regard sur toi. Je me souviens de tes mains tremblantes, douce mais froide de ton regard qui n'osait s'appuyer longuement sur le mien, de ta gorge nouée...l'hesitation des mots.
    Parce que l'un comme l'autre, nous avions les mêmes étoiles dans les yeux, le même trac au ventre, le même manque de confiance, chaque fois que nous nous croisions dans le couloir, dans la rue, sur la terrasse. Alors je me souviens aujourd'hui de nos joies, de nos craintes et de nos peines, et je me souviendrais toujours de tout ce qui est toi, de tout ce qui fus nous, à ces instants où nous nous rêvions en secret, dans le silence. Dans la nuit noire de nos chambres, dans nos silences.
    Je me souviendrais à jamais de ce jour , où cette passion nous à dépassés et terrifié à la fois.
    Alors, parce que le destin à pris ce jour là sous son aile, je garderai en moi, tout ce que je ressens encore aujourd'hui au plus profond de moi , cette petite flamme qui, la nuit, le jour, brule . J'espère que toi aussi tu te souviendras toujours de ces moments classé d'inexplicable et exceptionnel. J'en doute fort desfois!

    Le temps s'est arreté quand je t'ai connu, le temps s'arrete chaque fois que je te connais, te reconnais, penses à toi, le temps s'arrete quand je croise tes yeux, quand tu disais que j'etai ton bel est jeune amant. Quand mon ame frolle le tient, quand mes pensées passent pres des tiennes. J'ai ecrit ces quelques lignes qui te raconte, t'explique, te montre et decrivent qui tu es, comment tu es. Comment tu as marqué mon esprit, comment tu as volé mes pensées. Tu es la seule qui a ce jour a reussi a me faire voir autre chose, chez une femme. Une femme c'est un objet de la passion, de l'amour, de bonheur et toi tu es tout ca. Tu es celle qui donne le sourire, la joie, tu es celle qui donne les fous rires, celle qui donne les larmes et coupe le souffle de rire. Tu es celle qui sait faire apprecier un bon parfum, celle qui sait faire ressentir le manque de ton parfum, celle qui ma appris a craindre tes yeux, de rage et de fougue d'un autre coté. Tu es celle qui, a fait pleuvoir des cordes en moi à tous les personnages qui sont cachés dans mon corps, le beau, le jeune, le charmant, le charmeur, le mechant, le hargneux, le fougeux, le passionné, le nerveux, l'alcoolique, le sobre et tout les autres qui m'habite et qui t'on vecu en meme temps que mon ame. Qui t'on touché, senti, entendu, vu et qui on penetré dans ton monde ou tu ma presenté tes personnalitées. Elles sont toutes bien, sauf une, celle qui porte le chiffre de ton age. Elle s'y ai pris un peu tot, dommage. En tout cas tu es la magnifique, l'exceptionnel......................................... Mais, plus pour moi......

    M

    oi

    je suis née en Turquie, a Karayahsiller KÖyû, le village se situe a 60 kilometres de Pamukkale, les magnifiques bassins de calcaire blanc dont tout les touristes de tout pays viennent admirer. Ce petit bourg et rattaché a Denizli, tres connu pour son embleme qui est le Coq de Denizli. Des combats était organisé dans le temps entre les coqs mais c'est interdit aujourd'hui. Denizli est tres connu pour son textile, bon nombres de textile de base partent de la bas. Le coton, le tabac, une grande variétés de fruits. Le parlé porte un accent comme la plupart des regions de Turquie. Ici les mots sont allongé et manque la moitié des lettres que le peuples ne prononce pas dans le dialogue. Karayahsiller kôyû est un petit village ou la plupart des maisons etait en terre. Un melange de glaise, de paille et de la chaux. Les paysans et les villageois fabriquaient les briques de glaise artisanalement avec une petite machine manuel, comme un gabarit rectangulaire ou il remplissaient la boue et il le sortait apres l'avoir pressé pour l'exposer par terre. Un tapis de paille tout fin etait jetté au sol avant de commencer a fabriquer les briques pour eviter qu"elles collent pendant le sechage qui durait quelques heures, avec une telle chaleur la brique ne resistait pas longtemps au soleil. La machine etait là, à la disposition de tout les villageois qui voulaient s'en servir. Il n'existe pas de probleme de "c'est a toi ou c'est a moi" dans le village, encore au jour d'aujourd'hui ce village ou je suis née na pas changé ces coutumes de vie. Sauf qu'a la place des maisons pauvre de glaise, des batiments au plan impressionnat on pris place. Donc, voila, je suis née un matin tres tot a l'aube. C'etait un jour de grand froid, dans le temps là la Turquie etait comme la Russie avec ces hivers tres rude. Ca descendai jusqu'a -35, mais aujourd'hui avec le rechauffement de la planete c'est moins froid. Alors les hivers sont tres froid a s'en geler la buée qui sort de la bouche et l'été c'est un vrai four la turquie, nous qui vivons dans un pays Europeen n'avons pas l'habitude de ce genre de climat.

    Mon jour de naissance est un peu flou, les voitures etait rare, les bus n'existait quasiment pas en Turquie, dans les petit village comme le mien. Dans les villes tel que Istanbul, les vehicules et les bus etaient bien sur deja tres nombreux. Mais dans un village reculé, avec ces maisons en glaise, sans eau courante, ni electricité. Rare etait le passage d'un vehicule ou autre moyen de transport. Mes papiers me disent que je suis née un matin de Saint-Valentin 1978, mais ma mere me dit que c'est pas la bonne date. Pourquoi? dans la religion musulmanne, il est dit que lorsque qu'un bébé né il doit rester a la maison quarante jour, un genre de quarantaine quoi!! Et bien sur, étant de confession musulmanne, papa, maman et moi forcement. Mes parents ont attendus les quarante jours avant d'aller a la mairie la plus proche qui se trouve à une dizaine de kilometres du village. Le quarantieme jour et le quatorze Fevrier 1978, alors je me dit que je suis née le quatre Janvier 1978. A vrai dire, je n'ai aucune certitude de ma date de naissance mais ce qui est sure est certain c'est que doit pas etre beaucoup plus vieux que mes trente ans affiché dans la realité.

     

     

    A la plus grande des passions que j'ai eu jusqu'a ce jour


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  • dite moi quand meme ce que vous en pensé. merci Ma passion..... c'est toi....mais.......Perdu, Un jour, une fois, une periode, j'ai eu une passion pour une femme. Une comme on ne voit pas tout les jours, pas partout, d'une exception incroyable. D'un charme à en faire tombé la nuit, d'une beauté a en arreter le temps. Je l'ai vu par la fenetre la premiere fois.Apres quelques regards echangé, et quelques mots de passage, le temps s'arretait a chaque fois que je l'avais dans ma vision. Je l'observait discretement avec une forte envie de la sentir contre moi, son corps nu contre le mien, le silence m'entourrait, tout disparraissait d'un coup, le monde ne tournait plus, le vent ne soufflait plus, les oiseaux ne volait plus, les nuages n'etait plus en nage dans le ciel, tout les coeurs s'arretais de battre. Mon attirance est vite devenu tres fort, fou, fougueux, à tel point que je n'en dormais plus, je pensait constament a elle, son corps, se demarche, ces gestes, ces yeux. j'avais besoin de sentir son parfum, sa presence, meme la voir de loin me donnait une satisfaction grandiose que... que je n'avait jamais vecu avant.Je me disait rever tel, c'etait jolie, mes pensées, mes reves, mes espoirs de la voir, ou juste qu'elle me dise bonjour. Qu'elle me transperce de son regard pour toucher le plus petit et plus fragile point qui sommeil en moi. On croit a ces moments là que le monde des vivants ne pourrait plus exister si il n'y avait pas de tel creatures, belle, jolie, fascinante comme une biche qui s'exhibe dans la plaine avec sa demarche, pas à pas toujours identique. En regardant toujours devant elle, rien ne la surprend, rien ne l'attire. Un jour, je me suis dit a moi meme en rigolant, vu que j'aime les pitreries, ""si j'avais une femme comme toi, j'aimerai te voir une fois et apres si je suis aveugle c'est pas grave, je sais que tu es belle"" Meme sans mes yeux, a sentir sa peau douce passer sous mes doigt et ces levres sur les miennes, je verrais la beauté sortir d'elle. Elle avait 15 ans de plus que moi, j'y croyait pas quand elle me la annoncé, elle parraissait si jeune, si joyeuse, et tellement bien en forme. Son secret c'etait son cours d'escalier comme je l'appelais, elle me fascinait a chacun de ces regards, je croyais fondre sous la mire des ces yeux qui me transpercait froidement la vue, des yeux comme ca!! jamais vu, pourtant j'en ai croisé des yeux, des regards, froid, chaud, torride et glacial mais le sien etait si different, que je me suis laissé emporter. Son monde etait si different du mien, je me sentais plus gené qu'autre chose, certainement par manque d'habitude. Mais là c'est normal, c'est comme ca. On se laisse emporter si bien que j'en oubliait presque de respirer. Nos peu de moments passé ensemble etaient remplis de joies, de pitreries et tout ce qui est lié a l'amusement. Je lui racontais mes anecdotes avec passions, parce que je trouvais toujours un petit truc pour la faire rire, et j'aimais la voir comme ca. En fait je n'etait qu'un objet,un pitre,.... un objet qui accompagne a table,aux sorties, pour ces desirs les plus fous et pour bien d'autres choses dont elle etait comblé par ma presence. Elle voyait le plaisir en moi, je n'etait que fait pour ca, pour donner du plaisir, tant qu'elle voulait sans relache, sans fatigue, sans renoncer... tout etait bien, beau, beau mais il y avait une barriere. La barriere des sentiments. On ne devait pas la franchir, au debut on c'est dit qu'on ce verrait de temps a autres pour passer des bons moments agreable, boire un petit verre, un verre de champagne ou de cremant, car le champagne, c'etait ca, qu'elle aimais, elle en buvait tout le temps, ou des que possible. j'en croyait pas mes yeux, mais c'est quoi ce cinema de boire a tout bout de champs des bulles. Je me disait mais comment peut on boire du champagne ou du cremant si souvent, rosé s'il vous plait de preference, tres frequement, faute d'habitude de ma part bien sur. J'y ai pris habitude aussi, c'etait si bien et si bon, on prennait nos verres en main et on s'embrassait des longs moments sans s'arreter, si longuement que parfois on en oubliaient nos flute qui s'etait rechauffé a attendre notre gorgé pour etre degusté. le gout petillant sur sa langue me rendait plus que fougueux, plus que que fou, plus que dingue et je lui faisait l'amour comme jamais je l'ai fait. Elle je n'aurait jamais pu lui faire autre chose, que lui donner du plaisir, autant qu'elle en voulait, j'adorai voir la satisfaction couler de ces regards et de son visage, je voulais voir son corps trembler sous mes baisers chaud et mes promenades de langue sur elle. J'avais encore envie d'elle, meme en plein acte j'avais envie d'elle. Je voulais plus, plus de plaisir, pour lui en donner encore et encore a lui en faire tourner la tete. Le privilege de lui faire l'amour etait si fort, si doux et tellement long. Que je me sentait etre un homme, un vrai, j'arrivais a lui donner du plaisir et ca c'etait vraiment un privilege. Faire plaisir, faire du bien a une femme de cette ampleur, l'ampleur a mes yeux, sa grandeur et sa personnalité. Elle etait grande a mes yeux, du vecu, du deja vu, de l'experience, faisait parti de sa vie quotidienne. Elle savait cuisiner, j'ai plusieurs fois eu l'occasion de deguster ces petits plats mijoté par ces mains si douce, que j'en avait plus envie de la manger elle, que ces plats. Vraiment tres bien, rien a redire. Je penses à toi, j'ai cette douleurs qui appuie le coeur vers le bas comme si on allait me l'arracher, comme si un poids d'une tonne etait suspendu, je me sent repugnant, moche, pauvre, simple, jouet, objet, je cherche ce qui a pu t'eloigner de moi comme ca en si pêu de temps. Forcement quelqu'un qui a du te marquer plus que moi, ou pas forcement, enfin je sais pas, et meme je veux pas le savoir. Suis-je amoureux?? non je ne le suis pas. Ou peut etre que oui, es-ce ca l'amour noir?? je me retiens peut etre a le faire surgir hors de moi comme ma fougue. L'amour noir c'est celui ou on ne voit plus rien d'autre, ou tout est indifferent, ou on veux rien d'autre qu'elle, on en brulerai Rome pour un seul de ces regards, on penses pouvoir deplacer des maontagnes pour un de ces souffles chaud . Mais non, là, meme decrocher la lune ne servirai a plus rien. La barriere je l'ai en moi, je ne pourrai pas, avoir de sentiment pour elle.Aujourd'hui ca fait trois jours que je ne l'ai pas vu, et je me dit qu'elle na jamais existé pour me soulager l'esprit. Mon esprit,....comment le soulager, elle est là planté en moi, ces souvenirs coule dans mes veines, la sensation de ces carresses me passe sur le corps, ces mains sur mon visage... je ferme les yeux a chaque fois que ca me revient pour le sentir encore et encore plus fort. Mais quand je les ouvres...ya rien, personne.Et là, commence à gouter les larmes chaudes le long de mes joues envahi par ma barbe, jusqu'a tomber...pas par terre, mais sur mon destin si mauvais que j'espere noyer avec ces quelques larmes. Et la, je la maudit, je lui en veux, j'aimerai ne plus rien entendre, ne plus penser, ne plus la suivre, je la maudit tellement que moi meme j'en arrive a me maudire.....mon destin. C'est fini a la fin, je le voit, je sent mon agoni au fond de moi, tes paroles me font mal. tu aurais du me le dire au debut, mais ton choix et tel. Je t'enfermerai dans mon coeur et je partirai sans me retourner, je t'enfermerai dans mon ame et je t'oublierai alors, je t'effacerai de ma vie. De toute facon ce n'etait que de la passion, ma passion pour toi. Meme si je te desire encore comme un fou, je souffre a te faire passer de mon esprit, mais je t'effacerai, je t'oublierai, je redeviendrai le charmeur que j'etai. Dur, tenebreux, sans coeur, sans retour et sans questions. Mais au fond de moi quelque chose a envie de la voir, voir ma passion, de l'entendre, de la sentir, de la toucher, mais elle n'est pas là et ca c'est le pire des sentiments qu'un homme peux vivre, le vide, le vide de tout. Je me promene dans les rues de ma ville, et chaque recoins me fait penser à elle, tout ce que j'entend ou ce que voit a un rapport avec ca presence dans mon esprit. je pensais que ca aurait duré un ptit moment notre jeu du bel amant et de la maitresse, mais....non, j'ai trop revé. Ceci dit....elle est en moi, elle me manque tant, celle qui me donnait tant de joies et de plaisirs. Est elle bien? Pense-elle a moi? je ne sais pas , je ne sais rien. c'est dur, j'aimerai tellement me sortir tout ca de la tete. Et non je la garde en moi, peut etre un jour elle aura encore envie de mes carresses, de mes pitreries, de moi tout simplement. Je remonterai à nouveau les escaliers de son appartement en longeant le mur et en m'appuiyanr sur les marches une à une pour limiter le bruit et deranger personne. Et quand j'arriverai au permier palier, elle sera là a me regarder monter, avec son sourire charmeur et ensorcelant. Elle dira le bonjour habituel apres qu'elle m'aura embrassé plusieurs fois. Ensuite elle me demandera comment je vais. Et là, a peine entré, elle me servira un verre d'une boisson dont elle m'en parlera de longue minutes, de ces qualitées, ces origines etc...on appreciera ensemble ce verre tout en se regardant et se souriant. Apres elle me parlera de sa journée, de ce qu'elle a fait, de ce qu'elle a pas eu le temps de faire. moi je ferait pareil, je lui parlerai de mes projet du lendemain etc... Aucun de mes mots ne pourrai d'écrire ce que jai ressenti pour toi , aucun de mes mots ne pourrai d'écrire ce que je ressent pour toi, Personne ne peux ressentir ce que j'ai au fond de moi, Mais sache que ce que j'avais là au fond de moi c'etait toi. Tu me faisait voler, j'ai cru en toi comme une priere, je me suis attaché a toi comme un enfant, comment ai je pu croire a cette fausse verité, je me suis attaché a ta passion. Et maintenant je suis seul avec moi meme, redonne moi, mes yeux sec qui avait le sourire, redonne moi, mes jours qui n'etait pas noir avant, redonne moi, mon grand amour et ma grande passion pour la vie. Mais non, ne te demande pas si c'est a toi que je dit ca. C'est a la vie, a mon destin que je le crie, toi tu n'y est pour rien. Comment t'en vouloir apres tant de beaux moments, tant de joies, de folies et de fougue. Ce n'est pas toi, c'est lui.....lui seul qui saura me repondre. Mais tout humain je ne l'entend pas et tu ne l'entendra pas non plus, d'ailleurs personne ne pourra me dire un jour ce qu'il a dit. Cela restera a tout jamais un secret. Cela fait quelques jours maintenant que je t'ai envoyé ce mail que tu devais lire et repondre. Toujours rien, pas de retour. Tu as peut etre pas le temps de le lire, ou tu ne veux pas le lire, ou encore ca doit etre tellement peu important a tes yeux que tu ne prend meme pas dix minutes pour jetter un regard sur mes maux et mes mots que j'ai versé sur le clavier a ton attention. pourquoi je me fait autant de mal, je ne sais pas!! si je le savais croit moi que j'y penserai meme pas. Moi qui suit le briseur de coeurs, de reves....moi qui suit le charmeur sans pitié, sans merci. je partais toujours sans me retourner, sans me poser de question. Dur comme fer etait mon coeur. L'emotion, j'ai pas connu, j'ai jamais vecu. La peur de perdre, me perdre moi oui mais la bien aimé.. non ... jamais. là, je l'ai vecu, je lai ressenti. Mais peut etre pas au bon moment avec la bonne personne en fait.. j'en sais rien. mon âme saigne quand je rentre dans les pensées trop profonde, je te maudit, toi, d'etre venu trop tot sur terre et j'en fait autant pour ma part pour etre venu trop tard. A qui la faute? Aux destins qui se sont croisé mais pas dans la bonne époque. En tout cas, ""si il existe une vie dans un autre monde, je la brulerai cette planete pour que tu ne soit qu'a moi et rien qu'a moi"" Je pensais vivre une relation charnel, sans retour du genre, une de plus dans mon palmares. Mais non...ce n'est pas ca du tout, elle ne sera jamais un palmares, jamais. elle c'est une passion de courte durée qui m'en a fait voir et appris autant que si j'avais passé 1 an a lire. La passion de la machine oui je connais mais la passion pour la femme, pour elle, je connaissait pas. c'est un sentiment qui emporte dans un autre monde ou rien n'est pareil ou les voitures n'existe plus, la voix disparait, le dialogue se fait avec les yeux. Les yeux en disent beaucoup, les siens sont, si profond que j'ai le sentiment qu'elle arrive a voir mon enfance quand elle me fixe. tel la profondeur de ces regards me noie.Un biblot, tel un objet sans vie, je l'observerai des heures durant sans bouger, limite sans respirer. On n'y penses plus a l'air qui nous entourre, tant le coeur bat tout seul d'emotion et de passions.Son parfum.....je pourrai le respirer, respirer, respirer et encore le respirer. aucun mot n'est assez fort pour le raconter et vous le faire vivre. j'accepte le fait qu'on devait se separer un jour, mais pas aussi vite.Nous n'etions que des jouets dans les bras du destin. A notre premier baiser on avait deja frappé a la porte de la separation, le tout est de le vivre tel quel. En tout cas moi j'en souffre tout le temps a chaque instant, chaque respiration, chaque regard que j'ai, je souffre. toi je sais pas..........je t'embete peut etre avec mes histoires, c'est le dernier que je t'ecrit promis. je garderai le reste au fond de moi. Qui sait, combien de fois j'ai regardé ma boite de mail esperant un mot en retour de toi. Mais rien, toujours rien, je ferme les yeux je leve la tete en arriere comme pour crier ma douleur attroce de ne rien voir. Si tu savais comme c'est douloureux de rien trouver. Ne rit pas , de dit pas, ne fait rien, il est trop tard desormais pour dire quoi que ce soit, ca n'a plus aucune importance. Il y a des jours, ou des moments ou tout va bien. Je passe l'eponge sur toi, ou je ne pense pas du tout a nos fous rires et nos discutions pas serieuse. Dans le fond c'est ca que je devrais faire m'enfoutre completement, mais jy arrive pas. Si un jour j'en trouve la force je t'ignorerai comme jamais je lai fait parce que serieusement on a jamais eu de paroles forte du genre "je t'aime" etc....mais ya pas eu besoin de ca, pour que ca soit si fort. Je me laisse peut etre trop emporter ou peut etre je suis un petit minable qui s'accroche a un truc comme un gamin. enfin j'en sais rien et comme dit auparavant si je savais je me prendrai pas la tete autant. c'etait une soirée banale comme toutes les autres, dans une piece banale aussi. Ou, on etait entrain de boire un verre tranquillement en discutant de tout et de rien. Nos petit jeu on commencé, le baiser sur les levres, les petites caresses, les ptits mots doux etc...j'etai frais, jeune, confiant, charmeur et charmé. Elle etait charmante, chaude, fondante et un peu les grammes. L'envie est vite tombé dans le jeu de la seduction du seduit, je n'avais pas besoin de beaucoup de temps pur etre exité, le jeu et le risque dans l'amour ca me rend fou, le risque de savoir que je m'attacherai a une creature tel etait de toute facon claire pour moi. Comment ne pas s'attacher, on se laisserai empoisonner avec sourire et grace si elle nous donnais l'elixyr de la mort. La etait le plaisir, la etait la joie, la fougue de mes envies, de ma passion que j'avais nourrit en moi et qui avait grandit a force de la voir de loin et de sentir son parfum de passage. Je me disait que j'allais vivre une torture des que cela finirai, ma conscience me disait non...mais mon esprit de charmeur charmé me poussait a la seduire de plus en plus. La peur de la decevoir me hantais sans cesse, je m'apliquai dans tout mes gestes mais je croit que c'etait pas trop ca. C'etait pas assez, je devais m'ameliorer. Je me sentais toujours minable face a elle, j'ai toujours eu l'impression que je suis venu d'un autre monde ou rien n'est pareil. Si j'avais su un jour que j'allais autant souffrir de notre separation, enfin.....c'etait clair au depart,mais bon c'est moi qui va pas bien dans la tete...je vois bien qu'elle est insensible a tout, normal, moi je me tortille de questions sans reponses, j'en dort pas de la nuit j'ai peur de la voir, je sais pas quoi faire, la terre me parait si petite. Tandis qu'elle doit surement etre au resto a en rire de joie, face a l'homme qu'elle croit etre celui de sa vie. je me suis toujours dit, un homme qui a 50 ans qui pete la tune qui est charmant et qui na pas de femme, c'est louche quand meme. ya un soucis quelque part. enfin c'est ce que je pense je ne juge personne. Bref si seulement tu m'avais dit que tu me detestai, j'aurai preferé. Mal être, J'ai mal à mon entité, à mon intérieur, en plus des maux qui agressent mon corps et l'abîment inexorablement, j'ai mal à mon âme autant qu'à mon corps et mon esprit... j'ai l'impression d'être l'expression de toutes les douleurs. Un terrain de jeu où elles viennent s'éclater!... D'où me vient ce mal être si fort aujourd'hui? D'où qu'il vienne, qu'il y retourne!!! Je n'ai pas les armes pour l'affronter, je n'ai que mes larmes qui coulent à l'intérieur de moi seulement, et celles-là font mal. Toujours en tête "pleurer est une marque de faiblesse", alors voilà, celles-là ne se voient pas, elles coulent doucement de derrière mes yeux à mon coeur, et mon coeur imbibé se fait de plus en plus lourd...gros, mon coeur gros... me vient alors cette boule dans la gorge, que je traîne comme mon âme en peine. Peine à voir plus loin que mes larmes et mes souffrances ravalées, accumulées. Peine à voir, je me fais. Peine de tout pour un rien. Peine à dire, à écrire, à décrire, peine à expliquer, à demander, peine à attendre, à me défendre, à espérer, à m'imposer, à m'opposer, peine à dormir, à m'ouvrir, à m'adoucir... Bonheur... Je n'aime pas ce mot-là. Il ne sonne pas suffisamment bien pour être à la hauteur de ce qu'il prétend. Bonheur. Prononcez-le en y pensant. Je ne me suis jamais laissé convaincre. Bonheur... Encore une fois. Je trouve ça mou, sans conviction, lâche comme un élastique pas assez tendu pour servir. Ca signifie que c'est la "bonne heure" à la limite... mais ça n'assure rien de vraiment gai et rien de plein. Je me plains. Je me plains moi-même, je me remplis de joie. Mais le bonheur ne fait pas le plein à lui tout seul, il ne fait pas le poids. Auriez-vous fait le plein de bonheur si vous étiez en panne sur l'autodoute ? On a beau tourner ça dans tous les sens, vouloir être concilient, souple avec les mots, avec les sens, on a beau y mettre du sien, le bonheur ne prend pas le risque d'être sûr. Il s'arrange pour qu'on parle de lui au futur, pour qu'on le projette. Les optimistes, dans un avenir proche, et les pessimistes après leur mort. Mais il n'est là "ici et maintenant" pour pas grand monde. Si. Pour les rêveurs, pour les inconscients, les translucides, pour ceux capables de marcher sur un trottoir imaginaire. Le bonheur existe à condition qu'on ne le cherche pas, qu'on n'en ai pas d'idée précise. Il existe à condition qu'on y adhère sans avoir besoin de preuve. Ce matin, comme par hasard, j'y crois. Parce qu'un jour different ce lève, un jour ou j'essai de plus y penser, de plus y regarder, de tout eviter. Quand le temps c'est arreté, Le temps s'arretait chaque fois, chaque fois qu'elle m'embrassait, elle fait ca si bien que oui...le temps s'arrete. Parce qu'il nous a fallu espérer tant de fois toi et moi , parce qu'un jour tu as cru que je pouvais te dire "oui", que je pouvais moi aussi partager tes désirs, tu es venue à ma rencontre, timidement, le pas hésitant maintes fois répétés mais résignés. Il t'a fallu vaincre tes peurs les plus profondes, toi qui ne croyais pas qu'un jour je lèverai mon regard sur toi. Je me souviens de tes mains tremblantes, de ton regard qui n'osait s'appuyer sur le mien, de ta gorge nouée... Parce que l'un comme l'autre, nous avions les mêmes étoiles dans les yeux, le même trac au ventre, le même manque de confiance, chaque fois que nous nous croisions au détour de la vie. Alors je me souviens aujourd'hui de nos joies, de nos craintes et de nos peines, et je me souviendrais toujours de tout ce qui est toi, de tout ce qui fus nous, à ces instants où nous nous rêvions en secret, dans le silence. Je me souviendrais à jamais de ce jour , où cet amour nous dépassé et nous terrifié à la fois. Alors parce que a pris ce jour là sous son aile, je garderai en moi tout ce que je ressens encore aujourd'hui au plus profond de moi , cette petite flamme qui, la nuit, le jour, et à jamais sur notre . J'espère que toi aussi tu te souviendras toujours . A la plus grande des passions que j'ai eu jusqu'a ce jour .

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