• la suite pour vous

    j'ai du empreinter quelques lignes a des tiers personnes, enfin la base des phrases que j'ai modifié soigneusement?

     

     

    Le mal être, mon entité a mal, mon interieur brule en plus des douleurs qui agressent mon corps et l'abîment sans pitié, j'ai mal à mon âme autant qu'à mon corps et mon esprit... j'ai l'impression d'être l'expression de toutes les douleurs, le souffre douleurs des destins perdu. Un aire de jeu où elles viennent se defouler!... D'où me vient ce mal être si fort aujourd'hui? D'où qu'il est venu, qu'il y retourne!!! Je n'ai pas les armes en moi pour l'affronter, le defier, je n'ai que mes larmes qui coulent à l'intérieur de moi, le long de mon corps, seulement, et c'est celles-ci qui font le plus mal. Toujours en tête "pleurer est une marque de faiblesse, un homme ne pleure pas", mais, celles-là personne ne les voient, elles coulent doucement, chaudement, de derrière mes yeux à mon coeur, et mon coeur noyé se fait de plus en plus lourd...gros, mon coeur gros... me vient alors cette boule dans la gorge, qui vous fait chercher le souffle, l'air, le vent, que je traîne, comme mon âme en peine. Peine à voir plus loin que mes larmes et mes souffrances ravalées, accumulées. Peine à voir, je me fais. Peine de tout pour un rien. Peine à dire, à écrire, à décrire, peine à expliquer, à demander, peine à attendre, à me défendre, à espérer, à m'imposer, à m'opposer, peine à dormir, à m'ouvrir, à m'adoucir... Bonheur... Je n'aime pas ce mot-là. Il ne sonne pas suffisamment bien pour être à la hauteur de ce qu'il prétend. Bonheur. Prononcez-le en y pensant. Je ne me suis jamais laissé convaincre. Bonheur... Encore une fois. Je trouve ça mou, sans conviction, lâche comme un élastique pas assez tendu pour servir. Ca signifie que c'est la "bonne heure" à la limite... mais ça n'assure rien de vraiment gai et rien de plein. Je me plains. Je me plains moi-même, je me remplis de joie. Mais le bonheur ne fait pas le plein à lui tout seul, il ne fait pas le poids. Auriez-vous fait le plein de bonheur si vous étiez en panne sur l'autodoute ? On a beau tourner ça dans tous les sens, vouloir être concilient, souple avec les mots, avec les sens, on a beau y mettre du sien, le bonheur ne prend pas le risque d'être sûr. Il s'arrange pour qu'on parle de lui au futur, pour qu'on le projette. Les optimistes, dans un avenir proche, et les pessimistes après leur mort. Mais il n'est là "ici et maintenant" pour pas grand monde. Si. Pour les rêveurs, pour les inconscients, les translucides, pour ceux capables de marcher sur un trottoir imaginaire. Le bonheur existe à condition qu'on ne le cherche pas, qu'on n'en ai pas d'idée précise. Il existe à condition qu'on y adhère sans avoir besoin de preuve. Ce matin, comme par hasard, j'y crois. Parce qu'un jour different ce lève, un jour ou j'essai de plus y penser, de plus y regarder, de tout eviter.

    Encore un jour sans toi, encore un jour sans tes yeux, un jour sans ta voix, sans tes mains, ton parfum. Encore un jour de plus sans toi, ce n'est pas le premier, j'ai pris l'habitude moi, toi tu as deja tout oublié comme une chanson qu'on écoute sans attention. Mais moi je n'ai rien oublié et je n'oublierai rien comme si tout les jours, tout les matins, tout les soirs, toutes les nuits, je devais le revivre, te revivre. Toi, tes mains, ton âme, ta fierté, je les revit. Mais plus pour longtemps, je jetterai tout de mon interieur, pour t'en arracher comme un clou planté qui fait mal a chaque souffle, a chaque regard, chaque pensée. Moi c'est ca, tout ce que tu lis là c'est moi, c'est mes pensées, mes delires, mes conneries et toi, toi qui ma gravé quelque chose dans les veines que je n'arrive pas a decrocher. Si seulement je pouvais, je n'hesiterai pas, pas une seconde pour t'oublier. Et.....un jour........je t'oublirai........................jamais.

     

    Quand le temps c'est arreté,

    L

    e temps c'est arreté, le temps s'arretait chaque fois, chaque fois qu'elle m'embrassait, qu'elle me disait donne moi ta langue, je lui donnait sans un instant d'hesitation, doucement, lentement, fougeusement, profondement, elle fait ca si bien que oui...le temps s'arrete. Son corps est fin, sa peau est soyeuse, son teint est d'or, elle est grande, élancé, dynamique, gracieuse. Parce qu'il nous a fallu espérer tant de fois toi et moi , parce qu'un jour tu as cru que je pouvais te dire "oui", que je pouvais moi aussi partager tes désirs, tu es venue à ma rencontre, timidement, le pas hésitant maintes fois répétés mais résignés. Il t'a fallu vaincre, combattre tes peurs les plus profondes, toi qui ne croyais peut etre pas qu'un jour je lèverai mon regard sur toi. Je me souviens de tes mains tremblantes, douce mais froide de ton regard qui n'osait s'appuyer longuement sur le mien, de ta gorge nouée...l'hesitation des mots.
    Parce que l'un comme l'autre, nous avions les mêmes étoiles dans les yeux, le même trac au ventre, le même manque de confiance, chaque fois que nous nous croisions dans le couloir, dans la rue, sur la terrasse. Alors je me souviens aujourd'hui de nos joies, de nos craintes et de nos peines, et je me souviendrais toujours de tout ce qui est toi, de tout ce qui fus nous, à ces instants où nous nous rêvions en secret, dans le silence. Dans la nuit noire de nos chambres, dans nos silences.
    Je me souviendrais à jamais de ce jour , où cette passion nous à dépassés et terrifié à la fois.
    Alors, parce que le destin à pris ce jour là sous son aile, je garderai en moi, tout ce que je ressens encore aujourd'hui au plus profond de moi , cette petite flamme qui, la nuit, le jour, brule . J'espère que toi aussi tu te souviendras toujours de ces moments classé d'inexplicable et exceptionnel. J'en doute fort desfois!

    Le temps s'est arreté quand je t'ai connu, le temps s'arrete chaque fois que je te connais, te reconnais, penses à toi, le temps s'arrete quand je croise tes yeux, quand tu disais que j'etai ton bel est jeune amant. Quand mon ame frolle le tient, quand mes pensées passent pres des tiennes. J'ai ecrit ces quelques lignes qui te raconte, t'explique, te montre et decrivent qui tu es, comment tu es. Comment tu as marqué mon esprit, comment tu as volé mes pensées. Tu es la seule qui a ce jour a reussi a me faire voir autre chose, chez une femme. Une femme c'est un objet de la passion, de l'amour, de bonheur et toi tu es tout ca. Tu es celle qui donne le sourire, la joie, tu es celle qui donne les fous rires, celle qui donne les larmes et coupe le souffle de rire. Tu es celle qui sait faire apprecier un bon parfum, celle qui sait faire ressentir le manque de ton parfum, celle qui ma appris a craindre tes yeux, de rage et de fougue d'un autre coté. Tu es celle qui, a fait pleuvoir des cordes en moi à tous les personnages qui sont cachés dans mon corps, le beau, le jeune, le charmant, le charmeur, le mechant, le hargneux, le fougeux, le passionné, le nerveux, l'alcoolique, le sobre et tout les autres qui m'habite et qui t'on vecu en meme temps que mon ame. Qui t'on touché, senti, entendu, vu et qui on penetré dans ton monde ou tu ma presenté tes personnalitées. Elles sont toutes bien, sauf une, celle qui porte le chiffre de ton age. Elle s'y ai pris un peu tot, dommage. En tout cas tu es la magnifique, l'exceptionnel......................................... Mais, plus pour moi......

    M

    oi

    je suis née en Turquie, a Karayahsiller KÖyû, le village se situe a 60 kilometres de Pamukkale, les magnifiques bassins de calcaire blanc dont tout les touristes de tout pays viennent admirer. Ce petit bourg et rattaché a Denizli, tres connu pour son embleme qui est le Coq de Denizli. Des combats était organisé dans le temps entre les coqs mais c'est interdit aujourd'hui. Denizli est tres connu pour son textile, bon nombres de textile de base partent de la bas. Le coton, le tabac, une grande variétés de fruits. Le parlé porte un accent comme la plupart des regions de Turquie. Ici les mots sont allongé et manque la moitié des lettres que le peuples ne prononce pas dans le dialogue. Karayahsiller kôyû est un petit village ou la plupart des maisons etait en terre. Un melange de glaise, de paille et de la chaux. Les paysans et les villageois fabriquaient les briques de glaise artisanalement avec une petite machine manuel, comme un gabarit rectangulaire ou il remplissaient la boue et il le sortait apres l'avoir pressé pour l'exposer par terre. Un tapis de paille tout fin etait jetté au sol avant de commencer a fabriquer les briques pour eviter qu"elles collent pendant le sechage qui durait quelques heures, avec une telle chaleur la brique ne resistait pas longtemps au soleil. La machine etait là, à la disposition de tout les villageois qui voulaient s'en servir. Il n'existe pas de probleme de "c'est a toi ou c'est a moi" dans le village, encore au jour d'aujourd'hui ce village ou je suis née na pas changé ces coutumes de vie. Sauf qu'a la place des maisons pauvre de glaise, des batiments au plan impressionnat on pris place. Donc, voila, je suis née un matin tres tot a l'aube. C'etait un jour de grand froid, dans le temps là la Turquie etait comme la Russie avec ces hivers tres rude. Ca descendai jusqu'a -35, mais aujourd'hui avec le rechauffement de la planete c'est moins froid. Alors les hivers sont tres froid a s'en geler la buée qui sort de la bouche et l'été c'est un vrai four la turquie, nous qui vivons dans un pays Europeen n'avons pas l'habitude de ce genre de climat.

    Mon jour de naissance est un peu flou, les voitures etait rare, les bus n'existait quasiment pas en Turquie, dans les petit village comme le mien. Dans les villes tel que Istanbul, les vehicules et les bus etaient bien sur deja tres nombreux. Mais dans un village reculé, avec ces maisons en glaise, sans eau courante, ni electricité. Rare etait le passage d'un vehicule ou autre moyen de transport. Mes papiers me disent que je suis née un matin de Saint-Valentin 1978, mais ma mere me dit que c'est pas la bonne date. Pourquoi? dans la religion musulmanne, il est dit que lorsque qu'un bébé né il doit rester a la maison quarante jour, un genre de quarantaine quoi!! Et bien sur, étant de confession musulmanne, papa, maman et moi forcement. Mes parents ont attendus les quarante jours avant d'aller a la mairie la plus proche qui se trouve à une dizaine de kilometres du village. Le quarantieme jour et le quatorze Fevrier 1978, alors je me dit que je suis née le quatre Janvier 1978. A vrai dire, je n'ai aucune certitude de ma date de naissance mais ce qui est sure est certain c'est que doit pas etre beaucoup plus vieux que mes trente ans affiché dans la realité.

     

     

    A la plus grande des passions que j'ai eu jusqu'a ce jour


  • Commentaires

    1
    Jeudi 20 Mars 2008 à 10:13
    bon
    je viens te faire des bisous et m'excuser parce que j'ai pas pu lire encore... mais je te promets que ce soir je relis tout et que je te dis, passe une bonne journée, moi j'ai plein de travail snif :(
    2
    Jeudi 20 Mars 2008 à 18:11
    Et bien la ballade
    a été une bonne inspiration, bonne soirée à toi. Bisous
    3
    Jeudi 20 Mars 2008 à 21:02
    je suis et resterai ...
    ta plus fidèle lectrice ... j'adore je suis très émue en lisant ces lignes je dois te dire que je suis touchée ... continue c'est formidable ... de pouvoir arriver a écrire tout ça ... par contre c'est plus facile quand tu écrit en plus gros ... n'arrêtes pas j'attend la suite ... énormes bisous à toi merci de nous raconter tout ça c'est une marquede confaince Bisous
    4
    Jeudi 20 Mars 2008 à 21:03
    je suis MOTARDE ...
    AUSSI 9A C4EST POUR LA PETITE HISTOIRE
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    5
    Vendredi 21 Mars 2008 à 10:42
    moi aussi ...
    et un ti garçon de 7 ans ... un bonheur à l'état pur leplus beau cadeau de la vie ... que de points comuns dis moi bisous
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